samedi 12 mai 2018
Kyle Dubas nommé DG des Leafs à 32 ans
Les Leafs de Toronto ont procédé à une cure de rajeunissement drastique au poste de DG en nommant le très jeune Kyle Dubas, 32 ans, pour remplacer le vénérable Lou Lamoriello, 75 ans. On passe donc quelques générations pour remettre la conduite de l'équipe à un jeune homme à la réputation de "whiz kid" et féru de stats avancées. Ceux qui en ont contre le conformisme du milieu du hockey se réjouiront. Une chose est sûre, Dubas part sur des bases très favorables car il se voit remettre les clés d'une organisation riche en talent. Il sera intéressant de voir quelles actions il prendra pour faire progresser son équipe qui a été éliminée en première ronde lors des deux dernières années. Les Leafs semblent souffrir d'un déséquilibre entre la qualité de l'attaque et de la défense et la question est de savoir si Dubas posera le même diagnostic, et si c'est le cas, quels gestes il posera pour y remédier. Sacrifiera-t-il un des ses trois jeunes attaquants vedettes pour obtenir un vrai défenseur #1? Ça reste à voir. Le club risque aussi de perdre pour rien un très bon ailier en James Van Reimsdyk et des problèmes de masses salariales forceront des décisions difficiles. Avoir une très bonne équipe dans la LNH d'aujourd'hui est une chose, mais réussir à mettre vraiment tous les éléments en place pour gagner une coupe en est un autre. C'est le défi de Dubas et il faudra plus que des statistiques pour trouver la bonne formule.
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77 commentaires:
Augmentation de 50% du nombre de directeur qui ne sont pas des anciens joueurs ou des fils de.
Bravo
https://25stanley.com/la-lnh-met-beaucoup-daccent-sur-lexperience-lors-de-lembauche-de-ses-dirigeants/
Ils risquent de perdre Mark Hunter.
Retour à Montréal pour Mark Hunter?
Il a beaucoup d'expérience et est très bien vu par plusieurs.
Il a même déjà joué avec Marc Bergevin.
C'est tout de même impressionnant de devenir DG d'une équipe aussi importante à un si jeune âge. Je lui souhaite énormément de succès dans son nouveau rôle.
J'ai bien hâte moi aussi de voir si il sacrifiera William Nylander pour aller chercher de l'aide à la défense. Il commence avec une équipe bourrée de talent, mais aussi avec une masse salariale accotée dans le plafond. Ce ne sera pas facile, il aura des décisions difficiles à prendre très rapidement. Je ne comprends toujours pas l'énorme contrat accordé à Partick Marleau. C'est plate de penser que les Leafs vont perdre JVR parce qu'ils ont signé ce vétéran... L'idéal serait d'échanger Marleau, mais c'est pratiquement impossible.
Pour ce qui est de Mark Hunter qui voulait le même poste, je pense également qu'il quittera l'organisation des Leafs. On verra bien où il aboutira.
Est-ce que, comme Lou, Dubas interdira aux joueurs de se laisser pousser barbe et moustache? Si non, déjà, ce sera une salutaire bouffée d'air frais.
Soho 11 mai 2018 à 23 h 28
Je ne veux pas être plate, mais de tous les intervenants sur le blogue, vous êtes sans aucun doute un des deux ou trois qui font la plus grosse obsession sur le Snake. Tout n'est pas blanc ou noir, il y a beaucoup de gris. On peut être d'accord avec certains éléments dont parle le Snake sans vouloir faire le vide.
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Vous n'êtes pas plate, mal informé c'est certain. Je respecte énormément Snake, j'adore son personnage, son arrogance, sa simili confiance en lui. Il s'est créé un personnage des plus intéressants, qui lui permet de continuer à faire ce qu'il aime. Ce n'est pas rien.
Pour sa pensée, elle est loufoque et inapplicable. Trop drastique. Le problème, pour moi, est que plusieurs intervenants de ce blogue sont ses disciples et ses apôtres. Mais n'osent pas l'avouer. Il n'y a pas de honte à sortir du placard.
C'est tout, sur ce blogue, pour provoquer un débat il y quelques sujets comme:
- Le modèle de tanking (médiocrité)
- Subban
- Price
- Le CH
- Bergevin
Plusieurs de ces sujets m'intéressent plus. Par contre les modèles opérationnels d'une équipe de hockey, cela m'intéresse et je ne crois pas à la pensée magique.
Donc, oui sur ce sujet je serai passablement actif. Pour Subban et Price, tout a été dit et on passe à autre chose.
Pour des défenseurs, je pense que ça peut prendre une défense par comité. Pas nécessaire de toujours avoir le gros quart-arrière. En temps normal, c'est mieux, mais on peut faire avec. J'ai en mémoire les exemples des Devils et des Sabres quand ils ont géré leur cure de rajeunissement.
CHKeller 12 mai 00:33
Je vois que vous progressez en échangeant avec certains intervenants (saprebleu, mafalda, et quelques autres). J'utilisais une expression un peu éclatante pour illustrer mon point.
J'aimerais avoir votre optimisme sur San Jose, Chicago et Montréal par rapport au mélange de vétérans (pas finis) et de jeunes. Je parle de l'exemple de Winnipeg pour balancer les appréciations sur ce modèle.
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Merci monsieur ou madame le professeur. Oui, mes maîtres me font progresser. La lectures de leurs précieux textes meublent les lourds moments de mon existence, j'en suis redevable. Encore merci. :-)
Je ne sais pas pourquoi vous parlez dans la même phrase de San Jose, Chicago et Montréal. J'ai dit que San Jose était un modèle d'équipe très bien dirigé.
Porter attention à leurs stats depuis 1992 --> http://hfboards.mandatory.com/threads/nhl-draft-pick-production-and-team-rankings.2425203/
C'est hallucinant être compétitif comme cela. Je parle du passé, c'est tout.
Le futur, vous et moi nous ne le connaissons pas. Ceux qui disent qu'ils ne seront pas capables de continuer à performer, n'en savent rien, pas plus que moi d'ailleurs.
Dans le fonds, ce qui dérangent les intervenants avec San Josee est que leur approche de gestion détruit leur argument (les disciples de Snake) à l'effet qu'il y a nécessairement un passage obligé de médiocrité pour être performant.
Je reviendrai bientôt avec un texte détaillé sur le comment je vois le développement d'une équipe professionnelle de hockey. La grande différence dans ma pensée est que viserai à toujours avoir une équipe qui visera à faire les séries, donc une forme de continuité.
Une fois en série tout peut arriver. Nous sommes tellement habitués de voir San Josee en série que nous oublions la qualité de cette organisation.
@G Savard
Je ne crois pas que les Sharks de San Jose et leur approche de gestion détruit les arguments de Snake, au contraire. Les arguments de Snake ont pour but d'avoir une équipe qui se rapproche d'une dynastie, ce que les Sharks ne sont pas, vu qu'ils ont jamais gagné la coupe Stanley. Au moins, les Red Wings de Détroit ont une approche similaire et ils ont gagné la coupe Stanley une fois depuis le premier lock-out et ils ont participé à la finale par la suite, et ça remet en question les arguments de Snake et compagnie.
Pour le reste, si vous êtes habitué à répondre à snake, il serait plus que temps de comprendre que pour lui, ce qui importe c'est d'être premier, être champion. Autrement, c'est rien du tout.
@ G Savard
Je reviendrai bientôt avec un texte détaillé sur le comment je vois le développement d'une équipe professionnelle de hockey. La grande différence dans ma pensée est que viserai à toujours avoir une équipe qui visera à faire les séries, donc une forme de continuité.
Une fois en série tout peut arriver. Nous sommes tellement habitués de voir San Josee en série que nous oublions la qualité de cette organisation.
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Savez-vous que c'est exactement avec cette mentalité que les différents DG du CH batissent leur équipe depuis 25 ans... C'est quand déjà la dernière coupe Stanley à Montréal ? Avez-vous regardé des matchs des séries cette année ? Et si oui, pensez-vous sérieusement que le CH aurait pu éliminer Nashville, Pittsburgh, Tampa, Washington, Vegas, Winnipeg... ou même Toronto et Boston ?
@Opeth,
Vers 13h50 aujourd'hui, j'ai publié un texte (options de Poile), qui est apparu ensuite, mais est disparu peu après. C'était sur la page Déception à Nashville.
Si jamais vous le retrouvez, ce serait sympa de le republier sur la page du sujet qui sera active à ce moment-là.
C'était mon meilleur texte depuis des mois! ;-)
Merci!
@mafalda99
Je n'ai rien effacé de votre part. Vous avez publié un texte à 14h45 sur ce fil. Sauf qu'il faut cliquer sur "messages plus récents" pour le voir, le blogue n'affichant que 200 messages sur la page du texte original et on est rendu à 210 messages sur ce fil de discussion. Subban et Taillbert, qui aurait dit que ce serait si populaire, et relié, surtout?
Soho 16:37
Savez-vous que c'est exactement avec cette mentalité que les différents DG du CH batissent leur équipe depuis 25 ans... C'est quand déjà la dernière coupe Stanley à Montréal ? Avez-vous regardé des matchs des séries cette année ? Et si oui, pensez-vous sérieusement que le CH aurait pu éliminer Nashville, Pittsburgh, Tampa, Washington, Vegas, Winnipeg... ou même Toronto et Boston ?
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Vous ramenez toujours le débat au CH. Le CH a fait des erreurs monumentales entre sous l'ère Gainey qui ont fait perdre énormément d'années.
San Josee et Boston sont deux équipes très compétitives qui cherchent constamment à rester dans les séries. C'est donc la preuve que cela est faisable.
Maintenant si le but de l'exercice est d'augmenter la probabilité d'avoir le Graal et seulement le Graal indépendamment du nombre d'années de misère, là la stratégie de médiocrité provoquée devient intéressante.
La stratégie de médiocrité provoquée, peut, je dis peut amener cela. Mais ce n'est pas garanti du tout. Nous avons plusieurs exemples pour le démontrer.
Dans le monde commercial de nos jours, une stratégie bien articulée de continuité sera toujours plus intéressante et plus pragmatique d'un point de vue affaire. Je reviendrai là-dessus.
Le hockey n'est pas juste une question de passion pour les amateurs, c'est aussi un domaine commercial qui a de forts impacts sur plusieurs parties prenantes. J'y reviendrai.
@Saint-Yves
« C'est faux, archi-faux ce que tu dis. J'ai dit qu'il y a 2 mondes. Celui qui louange PK et l'autre monde. »
Cherry louange d’abord Subban en le qualifiant d’intelligent (smart), vous le reconnaissez vous-même.
« Et comme j'ai dit il l'aime Subban et il a dit il est SMART BUT... Tu as coupé court mon vieux, il a dit il est smart BUT... »
Je n’ai pas coupé, j’ai simplement rapporté qu’il entamait sa phrase par « He’s smart ». S’il trouve Subban BRILLIANT de prendre ce risque, qui a d’ailleurs mené à la pénalité de Connor et au but de Subban, le reste importe peu, il a déjà implicitement validé le choix de jeu de Subban, sans même s’en rendre compte (on connaît les valeurs du bonhomme).
À G Savard
Oublions le CH et revenons donc seulement 10 ans dans le passé. Pittsburgh à 3 coupes, Chicago aussi, les quatres autres, il y en a deux à Los Angeles, une à Boston et une à Détroit.
Pittsburgh : Fleury, Crosby, Malkin, J, Staal. Tous repêché premier ou deuxième du draft.
Chicago : Kane et Toews, premier et troisième... et ils ont gaspillé des choix top 7 en 2004 et 2005
Los Angeles : Doughty (#1), Kopitar et Schenn (qui a amené Carter à L.A.)
Boston : l'exception, l'équipe qui repêche bien avec des Bergeron, Marchand, Krejci et Lucic
Détroit : l'équipe qui était en avant de tous les autres point de vue repêchage européen
Un cas comme détroit, on n'en verra plus. C'est fini la domination du repêchage européen. Les autres équipes ce sont ajustées et le plafond salarial élimine l'autre avantage que les WIngs avait.
Soho 17:59
Je le sais vous savez. Je sais très bien que les équipes qui ont remporté le Graal ces derniers ont dû être médiocres. Je comprends très bien cela, ça prend pas un doctorat pour comprendre cela.
Ce que je dis, c'est cela:
Il est sûrement possible de penser différemment et d'obtenir des très bons résultats. C'est cela la stratégie de développement que j'ai en tête.
Sur ce blogue présentement c'est la pensée unique. Le seul modèle de développement d'une équipe que je lis est: Il faut encourager la médiocrité pour gagner le Graal.
Et si le Graal n'était pas la seule finalité. Est-ce une stratégie envisageable? Moi je dis oui.
Dis à ta femme, tu es belle MAIS... et on va voir si elle va interpréter cela de la même façon que toi :)
Pour confirmer tu peux essayer le tu n'est pas grosse MAIS... ensuite tu va comprendre ce que Don Cherry voulait dire. ;)
Don veut dire que Subban ne devrait pas risqué ce jeu, que les joueurs devraient faire attention à ce gars qui fait ça souvent et que les arbitres auraient du sévir. Horrible.
Smart BUT...
Voici la une liste des DG actuels. Avec le départ du vénérable Lamoriello (75 ans), Jim Rutherford est dorénavant l’aïeul du groupe, suivi de près par Poile. Dubas n’est pas le plus jeune, cet honneur reviens à Chayka (28 ans), DG des Coyotes depuis deux ans déjà.
Bob Murry 63 ans
John Chayka 28 ans
Don Sweeney 51 ans
Jason Botterill 41 ans (bientôt 42)
Brad Treviling 48 ans
Don Waddell 59 ans
Stan Bowman 44 ans
Joe Sakic 48 ans
Jarmo Kekäläinen 51 ans
Jim Nill 60 ans
Ken Holland 62 ans
Peter Chiarelli 53 ans
Dale Tallon 67 ans
Rob Blake 48 ans
Marc Bergevin 52 ans
David Poile 68 ans
Garth Snow 49 ans
Jeff Gorton 50 ans
Pierre Dorion 45 ans
Ron Hextall 54 ans
Jim Rutherford 69 ans
Doug Wilson 60 ans
Doug Armstron 53 ans
Steve Izerman 53 ans
Kyle Dubas 31 ans
Jim Benning 55 ans
George McPhee 59 ans
Brian MacLellan 59 ans
Kevin Cheveldayoff 48 ans
Simon Boisvert 51 ans *
* pas encore nommé.
@Saint-Yves
Bien sûr que Cherry n'approuvera jamais un plongeon, bien sûr qu'il considère que Subban n'aurait pas dû le faire, là n'est pas mon propos. Je réitère quu Cherry a lui-même louangé Subban en le qualifiant de brillant, rien de plus, ce qui n'avait rien de faux, archi faux.
Pour ce qui est de dire à votre douce qu'elle est belle mais, Tout dépend de ce qui suivra...
@ G Savard
"Donc, oui sur ce sujet je serai passablement actif. Pour Subban et Price, tout a été dit et on passe à autre chose."
Tellement vrai que l'office de la langue française pense actualiser l'expression "et patati et patata" pour "et patati et pataprice"
Et actualiser le casse-langue "Un chasseur sachant chasser sait chasser sans son chien." Pour "Un chasseur sachant chasser son Subban hors de chez soi sait le chasser hors de chez soi sans son chien dixit Bergevin"
@lannes
Cela a pris beaucoup de temps pour plusieurs de ces DGs pour devenir très bon.
David Poile, une quarantaine d'année
George McPhee, environ 25 ans.
Jim Rutherford, entre 12 et 22 ans, selon les interprétations.
desian 16:15
@G Savard
Je ne crois pas que les Sharks de San Jose et leur approche de gestion détruit les arguments de Snake, au contraire. Les arguments de Snake ont pour but d'avoir une équipe qui se rapproche d'une dynastie, ce que les Sharks ne sont pas, vu qu'ils ont jamais gagné la coupe Stanley
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Cher disciple de Snake, les chimères de Snake à propos des dynasties sont bonnes juste pour les blogues. Dans la vrai vie, il y a pas mal d'impératifs que Snake ne veut pas voir et ne veut pas entendre parler.
Malheureusement la réalité est toujours (vraiment toujours) plus complexe que nos rêves et nos fantasmes. Nous aimerions tous que le monde fonctionne selon certaines paradigmes, mais cela ne fonctionne pas.
Pour ceux qui aiment la stratégie militaire, c'est la différence entre un plan de bataille et la bataille réel.
Il y a toujours un écart important entre le rapport de 150 pages qui expliquent en détail l'approche de la bataille et la vrai réalité sur le terrain.
Jean Lannes pourrait vous en dire un bout sur la réalité des batailles sous Napoléon.
Saint-Yves a dit...
@lannes
Cela a pris beaucoup de temps pour plusieurs de ces DGs pour devenir très bon.
David Poile, une quarantaine d'année
George McPhee, environ 25 ans.
Jim Rutherford, entre 12 et 22 ans, selon les interprétations.
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Remarquez bien, que cela est tout à leur honneur. Une personne ne cesse jamais de s'améliorer à moins, qu'intentionnellement elle décide du contraire.
McPhee et Rutherford ont souvent été qualifiés d'incompétents notoires et pourtant.
Par contre, je ne dis pas qu'ils n'ont pas certains squelettes dans leurs placards.
G Savard
Mcphee a echange Filip Forsberg pour Martin Erat. Une gaffe monumentale. Je ne l'ai jamais compris celle la.
Depuis 1995, la palme revient a Mike Milbury ensuite Rejean Houle. Peter Chiarelli et sa gestion d'actif n'est pas trop loin. La signature Lucic, l'echange Taylor Hall, Griffin Reinhart, etc. On dirait qu'il est du type a buy high sell low. Au moins il a conserve RNH qu'il a repris de la valeur maintenant qu'il jour avec McDavid.
J'ajouterais Dorion a la liste mais il semble qu'il passe les commandes du proprio. Echanger Karlsson est une bonne idee dans un contexte de reconstruction mais echange Karlsson et Ryan? Tu viens de reduire le retour sur ton investissment. C'est carrememt absurde. Le proprio est simplement le plus cheap de la LNH et il souhaite economiser des $.
3-1 Winnipeg contre Vegas.
Ca s'annonce interesssant
@G Savard
Effectivement, certains journalistes ne lâchaient pas Jim Rutherford. Il a eu ses moments "Cantin".
A lire ici Rutherford falling apart, too
Ça vaut la peine de lire l'ensemble des critiques surtout quand on sait qu'il a gagné 2 coupes Stanley tout juste après.
@ St Yves
En effet. Comme DG il a fait la difference chez lea Pingouins. L'acquisition de Phil Kessel a certainement fait la difference lors de la 2e coupe de l'ere Crosby. Il aurait amplement merite le Conn Smythe.
QuantCowboy 20:50
Mcphee a echange Filip Forsberg pour Martin Erat. Une gaffe monumentale. Je ne l'ai jamais compris celle la.
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Je n'ai jamais dit que ces DG étaient parfaits, j'ai dit qu'ils avaient tous des squelettes dans leurs placards.
Tout DG prend des décisions et, malheureusement, des fois cela se révèle désastreux.
Toute personne intelligente et capable d'analyser apprend de ses actions. C'est le propre de l'apprentissage, et cela n'a rien à voir avec l'âge.
Il n'y a pas d'âge pour s'améliorer. Je ne juge pas un individu sur une ou deux actions mais sur l'ensemble de l'oeuvre.
Je ne connais pas ce nouveau DG des Leafs. Si sa connaissance des stats avancées lui procure du succès, tant mieux. Sinon cette façon de voir pourrait être critiquée négativement. Je ne connais pas le système mais je me suis toujours demandé si ça prenait en compte le caractère d'un joueur, de sa volonté de gagner, etc.
Ceci dit, je n'ai vu que la première moitié de la partie de ce soir entre les Jets et les Knights. J'ai un penchant pour les Jets mais je n'aime pas quand l'équipe adverse (de mon choix) soit bafouée par une mauvaise décision et ce soir Toronto en a pris une mauvaise en accordant le 3è but au Jets. Les joueurs sont tellement habiles avec leur patins que je suis sûr que l'attaquant des Jets a volontairement fait dévier cette rondelle "vers" le but. Ce qui revient à la diriger ou la "botter" comme semble l'indiquer le règlement. Deuxième aspect sur ce jeu, Fleury a été bousculé par le même joueur qui avait, en plus, les deux patins dans l'espace bleutée réservé au gardien. Décision très douteuse. Je le redis, je n'aime pas que l'adversaire du club que j'ai choisi comme gagnant soit pénalisé de cette façon. J'y vois de l'injustice. Pas fort Toronto sur ce jeu.
@Opeth, 17h28. Merci!
@Kataway a dit...
"Je ne connais pas ce nouveau DG des Leafs. Si sa connaissance des stats avancées lui procure du succès, tant mieux. Sinon cette façon de voir pourrait être critiquée négativement.
Jusqu'a date:
1-Tom Rowe a fait patate après avoir chambardé le club de la Floride et congédié Gérard Gallant
2-Plus personne ne parle de John Chayka et de ses stats avancées, en fait si mais de façon négative
3-Une troisième prise avec Kyle Dubas? Après une saison de 105 points, mon petit doigt me dit que....;)
@lannes
Pas faux mais archi-faux ;)
En ce dimanche matin ensoleillé, je provoque un nouveau débat. En espérant provoquer quelques réactions.
Les athlètes professionnels, comme les chevaux et comme la race bovine sont des êtres vivants dont nous cherchons à trouver les plus belles sélections.
Les grands chevaux gagnants les grandes courses (Belmont, Kenctuky, etc.) atteignent leur apogée autour de deux ans. En deux années, les chevaux élites sont détectés, entraînés et dorlotés pour en faire des véritables champions, je répète 2 ans.
La race bovine, quelques semaines après la naissance, un veau sera étiqueté dans la catégorie viande, reproducteur ou producteur (vache laitière).
Les spécialistes des chevaux et de la race bovine ont des grilles d'analyse très sophistiqué (observation, génétique, anatomie, historique parental, etc.) leur permettant de rapidement trouver les bêtes exceptionnelles. Ils se trompent aussi.
Comment se fait-il que pour les joueurs de hockey, les dirigeants aient des taux de succès si bas lors du repêchage?
Comment se fait-il qu'il soit si difficile de diagnostiquer un joueur moyen du joueur élite?
Comment se fait-il que nous soyons capables de détecter les exceptionnels pour les animaux et que nous ne sommes pas capables pour les athlètes de pointe?
Je connais une bonne partie de la réponse. J'aimerais voir vos réponses.
Il est difficile de prévoir la courbe de progression d'un jeune de 17 ans pour plusieurs raisons. On est à ce moment à la croisée de sa croissance, physique et mentale. Je dirais même qu'en repêchant le bon joueur, trop de variables par la suite risquent de changer son cheminement. Le développement est primordial, et un jeune qui a été habitué de gagner toute sa vie, se voit souvent utiliser dans des conditions qui ne lui sont pas propres. Il est là le moment où une organisation puisse changer la donne, et nuire ou non à sa confiance. Certaines équipes sont bonnes à aider un joueur à se rendre à un autre échelon, d'autres clairement non.
Regardez le développement de Sergachev à Tampa et dites-moi s'il aurait eu la même progression à Mtl. C'est tout dire.
Pour ce qui est du recrutement, il y a ce fameux consensus qui existe et empêche certains DGs à faire des choix plus risqués, sans toutefois être les mauvais. Sur ce point, Toronto amène un vent de fraicheur avec Dubas.
Paul Bernier 10:37
Il est difficile de prévoir la courbe de progression d'un jeune de 17 ans pour plusieurs raisons.
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Tout à fait vrai, mais c'est la même chose avec le jeune cheval. Dès les premiers mois, les entraîneurs équestres savent s'ils ont un cheval élite ou juste un bon cheval.
Donc, le processus de sélection me semble plus mature pour les chevaux et la race bovine que pour les joueurs de hockey.
Je n'ai pas de certitude, juste l'intuition.
G. Savard: «La race bovine, quelques semaines après la naissance, un veau sera étiqueté dans la catégorie viande, reproducteur ou producteur (vache laitière). Les spécialistes des chevaux et de la race bovine ont des grilles d'analyse très sophistiqué (observation, génétique, anatomie, historique parental, etc.) leur permettant de rapidement trouver les bêtes exceptionnelles. Ils se trompent aussi.»
On ne sait pas à quel point les veaux ont été bien triés et optimisés, parce que ceux qui ne sont pas retenus pour la survie deviennent de la viande. Si Martin Saint-Louis avait été un veau, il serait devenu des escalopes milanaises plutôt qu'un joueur étoile non-repêché donnant des cauchemars aux évaluateurs de talent.
@ G Savard
Un élément important des grands champions en course à cheval, c'est la génétique. Il s'assure d'accoupler les meilleurs ensemble.
Et il y a un cas encore plus spectaculaire au Polo en Argentine. Adolfo Cambiaso qui aimait tellement son cheval l'a fait clôner au moins 12 fois. Durant le match, il change de cheval, mais tous ses chevaux ont le même nom Cuartetera. Cuartetera #1, #2 #3...
@GSavard
Votre comparaison avec les chevaux ne tient pas la route et celle avec les bovins est simplement farfelue. Un humain n'est pas un cheval, c'est une évidence. Sa période de croissance est beaucoup plus longue et le seul critère physique de base est de savoir s'il peut courir vite. Aussi, ces animaux font l'objet d'une sélection génétique intense. On effectue des croisements en sachant pas mal à l'avance ce que l'on obtiendra et même là, pour les chevaux de course, on ignore quel rejeton deviendra un champion. Tous ces chevaux sont issus de sélections génétiques. L'être humain n'est pas accouplé pour produire des joueurs de hockey, les cas favorables émergent du hasard, à moins que le père ait été un joueur élite, mais même là, comme pour les chevaux, il n'y a pas de certitudes. Pourquoi Alain Lemieux n'était pas aussi bon que Mario, Pourquoi Keith Gretzky n'arrivait à la cheville de son frère Wayne et pourquoi six frères Sutter on fait la LNH?
Ceci dit, bien sûr des traits physiques peuvent être détectés, mais le hockey est un sport d'habiletés comprenant un élément chaotique auquel il est difficile de s'adapter. Il y a donc un élément d'apprentissage très important au hockey, et les combinaisons d'aptitudes physiques peuvent beaucoup varier d'un joueur élite à l'autre. Il y a aussi tout l'aspect mental, l'intelligence du jeu innée, celle qui ne s'enseigne pas, la capacité à encaisser la pression de produire, la tolérance aux risques physiques du jeu. Le hockey étant un sport violent. Il y a aussi l'amour du jeu qui est important pour réussir, la personnalité générale hors glace, le goût de l'entraînement physique, la discipline alimentaire et d'hygiène de vie en général. Tout ça pour dire qu'on est bien loin de la production annuelle de lait d'une vache sélectionnée génétiquement, ou du temps au mille d'un cheval issu d'anciens champions.
Maxime Prévost 11:57
Si Martin Saint-Louis avait été un veau, il serait devenu des escalopes milanaises plutôt qu'un joueur étoile non-repêché donnant des cauchemars aux évaluateurs de talent.
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Vous avez un très bon point. J'ai un peu hésité à prendre la race bovine à cause de cette situation. Cette race a peu de débouché et si la sélection est fautive, effectivement, l'animal finira souvent en escalopes. Par contre, les tests sur les veaux sont très sophistiqués.
C'est beaucoup moins vrai pour la race chevaline, si le cheval n'a pas les capacités d'être un sprinter (preakness) de talent, il lui reste une panoplie d'options (obstacles, cheval de compagnie, ferme, équestres, etc). Il vivra, la plupart du temps, assez longtemps, et pourra exceller dans d'autres sphères de compétition.
Très intéressant que vous ayez pris l'exemple de Martin St-Louis. D'un simple point de vue analytique, c'est un non sens carabiné qu'un joueur comme cela n'est pas été sélectionné, et il n'est pas le seul dans sa situation.
Cela fait juste encourager ma réflexion et ma remise en question du mode de sélection des joueurs. Il me semble qu'il y a trop d'anomalies, comme Martin St-louis, pour me laisser croire que le présent mode de sélection est adéquat.
De là, l'analogie avec les autres races qui cherchent les vedettes.
Je pense que je vais décrocher. C'est rendu trop loin, les comparaisons pour s'apercevoir que le repêchage de la LNH, malgré ses nombreuses carences, est le meilleur système que l'homme a trouvé pour sélectionner les meilleurs prospects.
Et qu'en est-il de la sélections des chiens de course ( lévrier ) comparé à un jeune joueur de hockey ( un être humain en passant )!?
Merci à tous, mais je suis épuisé d'essayer de suivre.....
@ G Savard
Je n'embarque pas dans votre comparaison, c'est un peu qualifier les jeunes hockeyeurs de bétail... Parait que les soviétiques, à l'époque, pratiquait la sélection génétique pour "engendrer" des champions olympiques.
Je comprends votre point de vue, c'est l'école quantitative du management. Tout se mesure, tout se ramène à des chiffres...
Parce que les bugs avec ces jeunes, il viennent beaucoup du mental. La fameuse "dureté du mental". On peut faire jouer de la musique classique pour les vaches dans l'étable, et il parait qu'elles donnent plus de lait. Mais pour un jeune à peine sorti de l'adolescence qui doit grandir dans un milieu hautement compétitif, physiquement exigeant, où il y une tonne de pression et des "vieux" qui n'attendent que la première occasion de te donner ta première commotion cérébrale ("Bienvenue chez les pros"), c'est peut-être un peu plus compliqué...
Quant à Martin St-Louis, n'est-il pas simplement l'anti-thèse de Kyle Chipchura. Un gars sélectionné avant le lock-out qui avait pleins d'atouts pour devenir un bon contributeur. Sauf qu'après le lock-out, il avait perdu beaucoup de ses atouts.
Un gars comme St-Louis, de nos jours, ne passe plus sous le radar à ce point. La comparaison n'est pas parfaite, car il est arrivé et a eu du succès avant le lock-out, mais le fait de l'ignorer est un peu le fruit de l'époque.
Opeth 12:41
Il y a beaucoup de commentaires intéressants dans votre analyse. Je vais les reprendre un à un:
"Votre comparaison avec les chevaux ne tient pas la route et celle avec les bovins est simplement farfelue. Un humain n'est pas un cheval, c'est une évidence."
Effectivement c'est une analogie avec ses imperfections. Mais par contre, il y un principe de base, la sélection hâtive. C'est pour cela que l'analyse est intéressante.
"Aussi, ces animaux font l'objet d'une sélection génétique intense."
Vous touchez le point que j'attendais que quelqu'un apporte. Effectivement, les tests génétiques et les croisements sont, pour le moment, inacceptables et non éthiques pour les humains. C'est quand même une partie importante de la sélection des animaux de compétition.
"Ceci dit, bien sûr des traits physiques peuvent être détectés, mais le hockey est un sport d'habiletés comprenant un élément chaotique auquel il est difficile de s'adapter."
"Il y a donc un élément d'apprentissage très important au hockey, et les combinaisons d'aptitudes physiques peuvent beaucoup varier d'un joueur élite à l'autre."
Effectivement, mais est-ce que dans les grilles d'analyse des joueurs de hockey les équipes se servent de la science? Il me semble que plein de tests cognitifs et physiques pourraient très rapidement donner un profil assez juste du jeune joueur. Il y a des choses qui ne changent pas dans la vie même si vous pratiquez 23 heures par jour. La vision d'un joueur par exemple. Des tests simulés pourraient rapidement montrés les capacités d'un joueur à prendre des décisions et à trouver les bonnes options dans un environnement complexe. Il y a des traits qui ne changent pas en vieillissant.
"la capacité à encaisser la pression de produire, la tolérance aux risques physiques du jeu."
Encore là, des tests cognitifs pourraient rapidement donner un juste portrait des qualités d'un joueur. Un pilote d'avion de chasse passe plusieurs tests simulés par démontrer son comportement dans des situations précises. Si vous n'aimez pas la violence et le jeu physique à 15 ans même si vous être le plus grand du club, vous n'êtes pas le bon profil pour être un goon. Rapidement les entraîneurs de chevaux sont en mesure de bien évaluer le caractère d'un cheval devant le stress de compétition.
"Il y a aussi l'amour du jeu qui est important pour réussir, la personnalité générale hors glace, le goût de l'entraînement physique, la discipline alimentaire et d'hygiène de vie en général."
Là nous tombons comme les anglais disent dans les "soft skills". Très importants quand même. Des tests précis peuvent quand même donner le profil général de l'individu, est-ce un suiveux? un ambitieux? un persévérant? un rejeté de la vie?
Je n'ai pas encore parlé de l'anatomie. L'anatomie des chevaux est scruté à la loupe. Où en sommes-nous dans les études anatomiques des joueurs de hockey? J'ai lu certains textes sur le sujet, cela m'a semblé assez embryonnaire mais intéressant.
La longueur des bras semble déterminante, le ratio jambe et thorax semble important. Petite jambe et long thorax. L'amplitude (bras ouvert en croix) semble être une autre donnée importante. Où en sont les équipes à cet égard?
Plein de questions que je me pose.
Dans ce débat, peut-être un brin farfelu, même s'il peut être intéressant de comparer l'humain à l'animal (on oppose bien l'humain à l'ordinateur aux échecs, alors.....), il y a une distinction fondamentale, il me semble: l'humain, contrairement à l'animal, a la capacité de penser, de réfléchir, de raisonner, ce qui peut être, très souvent, un avantage, mais peut aussi, assez souvent, nuire lorsqu'il s'agit de performances athlétiques.
La réalité, c'est qu'il y a de la sélection qui est faite tout au long du processus de développement des joueurs. Les catégories élites dans le hockey mineur sont là pour en témoigner, mais cette sélection n'est pas faite sur des critères physiques à maturité, mais bien sur les critères physiques du moment, sur l'habileté, le talent et la capacité d'être meilleur que les autres à un âge donné. Malheureusement, ce système laisse bien des joueurs potentiels derrière dans les rangs mineurs car la courbe de développement de chaque joueur est différente, autant sur le plan physique que sur le plan du niveau de jeu atteint. Je veux dire par là que bien des joueurs abandonnent le hockey mineur à un jeune âge sans savoir qu'ils auront un développement tardif.
Mon cas personnel est un bon exemple. J'ai arrêté de jouer au hockey mineur au niveau Bantam à 14 ans, alors que je mesurais 5'5'' et 140 lbs. Je n'avais pas un bon coup de patin et je me faisais frapper très durement à cause de ça. J'en ai eu assez et j'ai dit à mon père que j'arrêtais. Toutefois j'ai continué à jouer pour le plaisir l'hiver sur les patinoires extérieures. Finalement, à 17 ans je mesurais 5'10'', puis j'ai grandi encore de 5 pouces et demi entre 17 et 20 ans pour atteindre 6'3.5''. J'ai continué à jouer sur des patinoires extérieures l'hiver et j'ai commencé vers 20 ans à m'entraîner. Pas un entraînement d'athlète professionnel, mais quand même, assez pour être en très bonne forme.
À 25 ans, mon frère aîné de deux ans, qui lui avait toujours continué à jouer jusqu'au niveau junior A m'a convaincu de joindre son club de ligue de garage sans contact. J'avais des doutes n'ayant pas joué dans une vraie équipe depuis si longtemps et jamais à l'âge adulte. Finalement j'ai accepté et après une couple d'année j'étais un des bons joueurs de l'équipe (premier centre) qui comptait des gars qui avait déjà joué midget AAA et un peu de junior majeur.
Tout ça pour dire que si je n'avais pas arrêté de jouer avant ma poussée de croissance, j'aurais probablement pu jouer à un niveau très respectable. Pas professionnel car je n'ai jamais eu le coup de patin qu'il fallait, mais mon potentiel était bien meilleur que ce que le petit gars qui a demandé à son père d'arrêter au niveau Bantam pensait. J'ai arrêté à 14 ans car je me faisais frapper trop solidement par des jeunes plus matures que moi physiquement. Ceci dit, à 21 ans c'est moi qui aurait eu l'avantage physique.
Ce n'est que ma petite expérience personnelle et comme je l'ai dit, malgré tout cela je n'avais pas ce qu'il fallait pour devenir pro. Mais il est clair pour moi que mon développement physique tardif est ce qui m'a empêché de continuer et d'atteindre un niveau intéressant et je suis sûr qu'il y a des cas semblables au mien qui ont abandonné à un certain point et qui eux étaient plus talentueux et auraient pu avoir une carrière. Le système de développement actuel du hockey mineur par catégorie d'âge est fait pour les jeunes au développement physique assez précoce. Certains late bloomers très talentueux réussissent malgré tout, mais je suis sûr qu'on perd plusieurs bons joueurs en cour de route car ils ont juste un développement physique plus lent.
JPPaquin 13:05
"Je n'embarque pas dans votre comparaison, c'est un peu qualifier les jeunes hockeyeurs de bétail... Parait que les soviétiques, à l'époque, pratiquait la sélection génétique pour "engendrer" des champions olympiques.
Je comprends votre point de vue, c'est l'école quantitative du management. Tout se mesure, tout se ramène à des chiffres..."
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Je compare la sélection d'athlètes de pointe, dans cette analogie ce sont des chevaux, bovins et des humains, c'est imparfait mais nous sommes dans le monde de la sélection de spécimens de haut niveau.
Et oui, tout se mesure, et obtient-on des résultats probants? Je ne suis pas impressionné par les résultats au repêchage et le nombre d'anomalies obtenues.
En soulevant ce débat, je m'attendais à certains commentaires, les voici:
1) C'est loufoque comme débat --> Je l'ai eu ce commentaire
2) Les croisements des bêtes et l'aspect génétique --> Je l'ai eu ce commentaire
3) Si toutes les équipes ont accès aux mêmes tests scientifiques (physiques, anatomiques cognitifs, etc.). Nous revenons à la case départ. --> Effectivement c'est le cas. Ce sont les modèles mathématiques des équipes qui feraient la différence.
4) Est-ce légal? Peut-on faire des tests physiques, anatomiques et cognitifs sur un humain de 14 ans? --> Je n'ai pas la réponse. Un avocat spécialiste pourrait nous répondre
5) Il est possible que certaines équipes soient déjà rendues à ce niveau --> Peut-être, mais cela ne ressort pas lorsque nous regardons le résultat des dix dernières années pour chaque équipe.
6) Comment pourrait-on avoir ce genre de tests scientifiques si les fédérations de hockey ne veulent pas participer? --> Effectivement, il y a un enjeu des différents pays et des différentes fédérations sportives. Je n'ai pas la réponse. Peut-être que certains pays ont déjà des tests de sélection très sophistiqués.
Opeth 14:02
Vous touchez un point qui est effectivement très difficile à évaluer. La projection physique d'un jeune joueur de 15, 16 ou 17 ans. Peut-être même le nerf de la guerre.
C'est pour cela que j'aimerais que les universités fassent des recherches sur ces sujets. Le volet anatomie et croissance.
Est-il réaliste de penser que des principes de base scientifiques pourraient être mis en place afin de bien projeter la croissance d'un jeune joueur?
Opeth à 14:02
La réalité, c'est qu'il y a de la sélection qui est faite tout au long du processus de développement des joueurs. Les catégories élites dans le hockey mineur sont là pour en témoigner, mais cette sélection n'est pas faite sur des critères physiques à maturité, mais bien sur les critères physiques du moment, sur l'habileté, le talent et la capacité d'être meilleur que les autres à un âge donné. Malheureusement, ce système laisse bien des joueurs potentiels derrière dans les rangs mineurs car la courbe de développement de chaque joueur est différente, autant sur le plan physique que sur le plan du niveau de jeu atteint.
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Je ne peux être que d'accord avec cet énoncé. Le but du débat d'aujourd'hui est un peu cela. Les méthodes ancestrales de sélection des joueurs de hockey me semblent dépasser.
Je dis cela comme un observateur. C'est l'idée que je me fais de la sélection des joueurs lorsque je vois les résultats des repêchages.
Dans mon livre, avec une panoplie de tests cognitifs, anatomiques et physiques, les jeunes surdoués devraient déjà sortir du lot à 10 ans. Ils devraient avoir un parcours particulier (comme les académies de soccer en France) pour ces jeunes. Des tests scientifiques minimiseraient l'aspect grosseur de l'individu par rapport à ces pairs à un âge précis.
@GSavard
Vous surestimez la science et je suis moi-même scientifique. Il est impossible de prévoir avec certitude les attributs physiques d'un individu à maturité lorsqu'il est encore un enfant et encore moins si ce développement sera hâtif ou tardif.
Saint-Yves a écris "Dis à ta femme, tu es belle MAIS"
LOL Elle est bonne. C'est a ca que je pense que on écrit
Je ne suis pas raciste MAIS...
Je n'ai rien contre Price MAIS...
Je n'ai rien contre Weber MAIS...
Le mais est toujours suivit d'un bitchage ;o)
Regardez Mario Lemieux il mesure 6'04'' et son frère Alain Lemieux 6'00''. Donc quatre pouces de différence entre les frères issus des mêmes parents et le plus grand a été de loin le meilleur joueur.
@Sylvain Chatrand
Comme j’en ai fait part au bienheureux Yves, tout dépend de ce qui suit :
Tu es belle mais je t'aime d'abord pour ton intelligence.
Tu es belle mais je sais que tu seras encore plus belle demain.
Tu es belle mais il y a tant d'autres choses qui font de toi une femme exceptionnelle...
@opeth
Et on peut dire l'inverse au sujet des frères Richard.
@Jean Lannes
Que voulez-vous dire? Maurice était pas mal plus gros et grand que Henri et il a été le meilleur des deux.
Désolé, je voulais dire la même chose plutôt que l'inverse (5 pieds 7 pouces pour le Pocket, 5 pieds 10 pouces pour le Rocket). Ceci dit, je suis convaincu qu'on pourrait trouver plusieurs exemples où l'inverse est vrai.
Quelle horreur de comparer les fantastiques êtres humains à de vulgaires bêtes. Nous l'homo Machin au sommet de l'évolution comme disent et pensent certains.
D'autres se proclament les fils de Dieu à son image et ressemblance.
Pis d'autres pensent que les extras terrestres nous ont élus pour nous faire évoluer à vitesse grand V face à notre magnifique destin.
Peu importe nos croyances ou orientation, il y a toujours place à flatter notre orgueil débordant en fuyant la réalité quotidienne.
Les meilleurs athlètes , il y en a des grands, des petits et de tous les genres. La réussite est d'abord une question d'attitude et de vouloir. Gretzky ne semblait pas physiquement le parfait hockeyeur mais il a réécrit le livre des records. Il avait l'intelligence d'aimer son sport et de comprendre ce qu'était son potentiel de joueur de hockey.
jbsport 16:01
Désolé de détruire votre rêve olympique mon cher monsieur. La réussite sportive vient en premier lieu d'un talent très particulier. Point barré.
À cela, les meilleurs ont aussi la bonne attitude et le vouloir. Même si j'avais eu la meilleure attitude au monde et le vouloir de 100 personnes, je n'ai pas le talent.
Encore désolé de vous décevoir.
@ G Savard
Vous n'avez pas de talent parce que vous avez l'attitude d'un sans talent. Vous pouvez autant que n'importe qui. Bien sûr il y a une tonne de facteurs qui influencent.
Fouillez un peu et vous verrez que les prétendus talentueux ont tous bûchés pour y arriver, il n'y a pas de ce genre de hasard.
Même le désinvolte Derreck Sanderson n'est pas monté à son meilleur niveau sans effort.
C'est la différence entre le vrai et le laisser croire pour les poseurs.
J'en côtoie des athlètes et quand on fouille dans leur histoire de vie, ils en ont tous fait de grands efforts. Pas vous, en tous cas pour devenir un athlète.
Si vous pesez 250 lbs à 16 ans, évidemment que vous n'avez pas le talent particulier d'un jokey ou plongeur, mais sur la ligne offensive au foot, peut-être, il faut se connaitre un peu, à la Gretzky.
Portez-vous des plaques sur vos tempes qui avancent jusqu'aux yeux?
jBSport 17:45
Merci de vos bons commentaires!
opeth 14:35
Vous surestimez la science et je suis moi-même scientifique. Il est impossible de prévoir avec certitude les attributs physiques d'un individu à maturité lorsqu'il est encore un enfant et encore moins si ce développement sera hâtif ou tardif.
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j'entends et je lis votre commentaire, je dis que la science permettra aux équipes innovatrices d'avoir un différentiel (edge) par rapport aux autres équipes. Peut-être pas totalement, mais cela deviendra majeur.
Et vous monsieur Opeth que proposez-vous afin d'améliorer les piètres résultats au repêchage? Si une équipe réussit à être, de façon continuelle, une meilleure équipe par rapport aux autres de l'ordre de 20 à 25%. Nous pouvons nous entendre que cela aura un impact incroyable sur la glace.
Il serait intéressant que vous partiez un débat et demander aux intervenants ce qu'ils proposent afin qu'une équipe puisse être très supérieure aux autres équipes lors du repêchage.
À mon sens, le choix d'un joueur à 17-18 est plutôt hâtif. Il y a une augmentation de l'aspect risque. Je sais que c'est différent dans d'autres sports, mais j'ai pas les détails. Si on ramenait cet âge à 19-20 ou même 21 ans, je suis sûr que ce serait plus facile de repêcher du talent pro au niveau de la LNH.
Pour répondre aux choses à lesquelles je n'ai pas répondu, pour parler de San Jose et Detroit, il faut tenir compte que je suis sous l'impression que tu évalues les choses avec des lunettes des années 1990 ou 1995, gsavard. Si on prenait 1995, ça nous donnerait un cycle de 14 ans jusqu'en 2009, soit la période où Detroit a établi sa dominance.
San Jose est devenu un joueur majeur en raison de la sélection de plusieurs gardiens interchangeables, de deux ou trois transactions qui ont fait tout la différence - pensons aux transactions de Joe Thornton, Brent Burns et Logan Couture. Je dirais que pendant longtemps, San Jose a été la risée des dépisteurs. Mais pour dire franc, le modèle de San Jose ne m'impressionne pas vraiment. Il manque toujours un petit quelque chose pour aboutir. Mais je dois dire que leurs derniers repêchages m'inspirent un peu plus...
Pour revenir à Detroit, on parle d'un club qui a tiré parti du «loophole» des joueurs européens qui ont franchi le rideau de fer au début des années 1990. Il faut dire qu'ils ont bien repêché en fond de grille pendant quelques années, mais sous Holland il y a eu un peu une stagnation. Il est difficile de se relever des pertes combinées de Lidstrom, Datsyuk et compagnie. Quand on étire la sauce, la période 1990-2008 a révélé les Wings. Yzerman était leur phare. Le quintette russe a supplanté la trappe dans les moeurs. Les Red Wings ont été les précurseurs du repêchage européen, c'est aussi simple que ça. Et ça s'est terminé assez durement, même si la chute a été tranquille.
Plusieurs intervenants soulignent, avec justesse, qu'il est très difficile de projeter un joueur de 16 ou 17 ans. Quelle sera sa progression? A-t-il l'intelligence ou le désir pour réussir? Quel sera son physique à 20 ans?
Je ne peux être en désaccord avec cela (en partie seulement). Dans les années 70-80 le physique était la finalité. Maintenant le physique devient de moins en moins crucial et la mobilité et la vitesse de réaction deviennent des atouts indispensables pour un jeune. (pensons-y, Johnny Gaudreau 155 livres mouillés)
L'anatomie des joueurs a changé depuis quelques années et continuera de changer rapidement dans les prochaines années. Je vais m'avancer et je vais dire que le joueur de hockey dans 10 ans sera assez similaire au joueur de soccer aujourd'hui.
Pour les avants: Relativement court, jambes fortes, endurance, capacité à faire des mouvements rapides dans des espaces restreints. Les avants avec les meilleures mains feront des salaires importants, mais seront physiquement assez similaires à l'ensemble des joueurs.
Pour les gardiens: Le plus grand joueur du groupe, hyper athlétique.
Pour les défenseurs: Les très grands joueurs (6.5 et plus) ne seront plus repêchés tôt. Les défenseurs seront plus grands que les avants mais pas des géants non plus. Les joueurs avec de longs bras seront très avantagés mais ils devront être très mobiles et très vites dans la prise de décision. Les passeurs et les accélérateurs du jeu seront très recherchés.
@GSavard
Repousser l'âge normal de repêchage de deux ans à 19/20 ans au lieu de 17/18 ans et modifier la convention collective pour permettre de beaucoup plus gros salaires aux choix de première ronde, selon leur rang de sélection, et permettre aux joueurs de se rendre éligibles dès 17/18 ans, ou 18/19 ans, s'ils le désirent. Seuls les exceptionnels à la McDavid auraient avantage à se déclarer éligibles à 17/18 ans car sûrs de sortir très haut en première ronde. Les joueurs au développement normal ou plus tardif auraient avantage à attendre 19/20 ans pour se déclarer éligibles et ainsi sortir le plus haut possible et toucher un contrat en conséquence.
La différence de salaire entre les rangs de sélection devrait être importante pour inciter les joueurs à attendre pour se déclarer éligibles. Ce serait un système semblable à celui de la NFL où les salaires des contrats de recrues sont déterminés selon la hauteur du rang de sélection. Un tel système respecterait le droit des joueurs à se déclarer éligibles dès leur majorité, mais il favoriserait la déclaration plus tardive de la grande majorité des joueurs et permettrait ainsi une meilleure évaluation du talent par les clubs et plus de certitude pour les équipes qui repêchent et à moyen terme ça justifierait l'échelle salariale différenciée en faveur des choix les plus hâtifs.
Désolé GSavard. Il n'y a plus de type physique. C'est le talent de joueur aujourd'hui qui fait foi de presque tout. La taille physique joue encore un rôle, mais il est devenu marginal. Tu dois être vraiment très petit pour être exclu sur ce seul critère.
Opeth 18:35
Je suis d'accord, si on change les règles du jeu, ce sera plus facile. Effectivement, repêché à 20 ans au lieu de 18 ans. C'est plus simple.
Ma question est: Que proposez-vous, sans changer les critères d'aujourd'hui, pour améliorer les résultats au repêchage?
Ma question vise les équipes pas le processus de repêchage. Personnellement, même si je comprends pourquoi, je trouve idiot de repêcher un joueur à 18 ans.
Si les processus entourant le repêchage ne change pas, que proposez-vous?
Il n'y a pas de recette miracle. Des dépisteurs avec du flair, tenir compte de l'âge des joueurs, du potentiel à peu près apparent de croissance et de développement physique, surtout pour les choix de fin de première ronde et plus lointains. Il n'y a pas d'algorithme scientifique pour prédire avec certitude l'évolution d'un jeune de 17/18 ans comme personne, encore moins comme joueur de hockey.
Je serais d'accord pour retarder l'âge du repêchage à 20 ans au lieu de 18. Surtout que plusieurs joueurs choisissent maintenant de terminer leurs études avant de commencer une carrière professionnelle au hockey. Ça leur mettrait moins de pression aussi à abandonner leurs études pour gagner plus d'argent rapidement. Ça permettrait tout autant aux recruteurs, DG et tout le personnel en place de mieux voir le futur d'un joueur recherché. Je crois que tout le monde y gagnerait. Est-ce qu'il y aurait l'autre côté de la balance un parti qui opterait pour dire qu'on ne peut empêcher un homme de gagner sa vie alors qu'il est majeur? Je crois que ça arriverait assez vite merci dans le décor.
Le rêve romantique du repêchage a 19 ou 20 qui empêcherait les erreurs....
La LNH l’avait ce repêchage à 20 ans avant 1980 et ça n’empêchait pas les erreurs.
Comparer le repêchage avant 1980, avant l'arrivée massive des joueurs européens en 1990 ou encore en 2018, il y a plusieurs paramètres qui sont entrés en ligne de compte.
C'est assez récurrent ce débat sur l'âge du repêchage. Mais pour revenir sur comment le repêchage et les systèmes de jeu ont évolué, je pense que l'application des sélections de repêchage deviendrait moins risquée si nous nous référons à comment le métier du dépisteur et des équipes de recrutement sont venus à changer, révolutionner les idées reçues.
S'il y a des erreurs - visez tout d'abord le boy's club des dirigeants de la LNH.
Ça n'éviterait pas toutes les erreurs, mais il est ridicule de prétendre que ça ne les minimiseraient pas de beaucoup. Le recrutement est aujourd'hui bien plus avancé que dans les années 70.
CHKeller 18:18
Pour répondre aux choses à lesquelles je n'ai pas répondu, pour parler de San Jose et Detroit, il faut tenir compte que je suis sous l'impression que tu évalues les choses avec des lunettes des années 1990 ou 1995, gsavard. Si on prenait 1995, ça nous donnerait un cycle de 14 ans jusqu'en 2009, soit la période où Detroit a établi sa dominance.
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Disons que Détroit, moi-même j'ai un peu plus de misère. Ils sont, présentement, dans une période qui sera difficile.
Pour San Jose, pour être honnête, je me fous pas mal des joueurs qu'ils ont ou qu'ils ont pu avoir. Je regarde principalement leurs résultats depuis 1992. C'est extravagant être consistant comme cela.
http://www.hockeydb.com/stte/san-jose-sharks-7877.html
Par contre, je dois dire qu'ils sont pas mal au-dessus de la mêlée lorsqu'il s'agit de faire des échanges dévastateurs. Le fait d'être aller chercher Thornton, Burns et Kane démontre une organisation vraiment allumé. Ces joueurs sont des joueurs de très haut calibre. Je m'incline devant leur approche.
Bon, je sais, vous allez me dire qu'ils n'ont pas gagné le Graal. Ça c'est une autre question. Bien des équipes moribondes depuis 1992 n'ont pas gagné le Graal.
opeth 18:56
Il n'y a pas de recette miracle. Des dépisteurs avec du flair, tenir compte de l'âge des joueurs, du potentiel à peu près apparent de croissance et de développement physique, surtout pour les choix de fin de première ronde et plus lointains. Il n'y a pas d'algorithme scientifique pour prédire avec certitude l'évolution d'un jeune de 17/18 ans comme personne, encore moins comme joueur de hockey.
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Vous me décevez Opeth. Vous restez dans le conformisme. La qualité des recruteurs. Come on...
Si cette recette fonctionnait, nous le serions déjà.
J'imagine que pas mal tous les recruteurs professionnels voient des tonnes de joutes et remplissent leur formulaire normalisé qui permet de compiler les données dans la base de données centrales de l'équipe.
Et vous allez me dire que c'est cela qui permettra de se démarquer par rapport aux autres équipes.
Pour un scientifique, je me serais attendu à plus de rigueur.
CHKeller 19:54
S'il y a des erreurs - visez tout d'abord le boy's club des dirigeants de la LNH.
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Nous lisons souvent ce genre de phrases sur les blogues. Les boy's club, l'incompétence des dirigeants et j'en passe.
Plusieurs intervenants font des liens entre le fait que les dirigeants ont été des anciens joueurs de la LNH ou des personnes qui ont gravité près des équipes de la LNH.
Cela est vrai dans tous les sports, le "coaching staff" et plusieurs directeurs généraux dans la NFL ont été des joueurs près des organisation de la NFL. Il n'ont pas été nécessairement des vedettes, mais ils connaissent la partie.
Pour la NFL c'est acceptable, mais pas pour la LNH c'est inacceptable. J'imagine qu'il y a autant de nul chez les dirigeants de la LNH que dans le reste de la société.
Pourquoi cela devrait être différent. La notion boy's club des dirigeants, c'est du vent. Il faut trouver des arguments plus sérieux.
opeth 18:39
Désolé GSavard. Il n'y a plus de type physique. C'est le talent de joueur aujourd'hui qui fait foi de presque tout. La taille physique joue encore un rôle, mais il est devenu marginal. Tu dois être vraiment très petit pour être exclu sur ce seul critère.
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Vous devez être vraiment à court d'argument pour dire des inepties semblables. Pour le fondateur de ce blogue, vous aurez pas mal de difficulté à dire à d'autres intervenants qu'ils dérapent.
En passant, je ne vous ai jamais tutoyé.
Je ne vous ai jamais tutoyé non plus. Vous devriez plutôt me relire. Je pense que vous avez très mal lu.
opeth 21:26
Oui, vous avez raison. J'aurais dû lire.
Un joueur, de nos jours, doit être très petit pour être exclu sur ce seul critère.
Merci de la précision.
Même si j'aimerais beaucoup que les Caps gagnent le Graal. Je suis estomaqué de voir la mauvaise exécution de Tampa Bay. Une équipe méconnaissable.
La prochaine joute risque d'être assez intense merci.
Trois des quatres dernières équipes toujours envie ont accumulé leurs vedettes en finissant dans les cas-fonds pour quelques années.
Boy's club?
Peter Chiarelli, Ray Shero, Bob Gainey, Réjean Houle, Mike Milbury, Stan Bowman, Jarmo Kekalainen, Marc Bergevin, Jason Botterill, Jim Nill, Rob Blake, Ron Francis, Cam Neely, Brendan Shanahan, Stéphane Quintal, Chris Pronger, Garth Snow, Ron Hextall, Jim Rutherford, Don Sweeney, Doug Wilson, Mark Hunter, Steve Yzerman, Jim Benning, Joe Nieuwendyk, Rick Dudley, George McPhee, Brian MacLellan, Dale Tallon, Joe Sakic, Bob Murray
ont tous joué dans la lnh avant d'être promus dans des états-majors de la LNH. Le père de Pierre Dorion était dépisteur en chef de Toronto avant de connaître la mort. Stan Bowman est devenu DG dans la LNH et il le doit en partie à la renommée de son père.
Sauf les exceptions habituelles et la tendance à la modernisation, les DG doivent «avoir joué la game». Comme vous le voyez, j'ai inclus quelques bons DG, j'ai mis en relief certains cas de DG du passé qui ont «failli». Le truc, c'est que tout ce monde-là se nomme entre eux et donnent rarement, même très rarement aux gens de l'extérieur des cadres du hockey.
Les connaissances en matière de dépistage laissent à désir dans certains cas et comme ces personnes sont en autorité, elles sévissent dans leur incompétence. Ainsi, nous pouvons voir les commandes qui se passent pour sélectionner des joueurs en suivant des besoins X réclamés par la vision à court terme du DG comme par exemple quand les McCarron, Jacob De La Rose et Connor Crisp ont été repêchés en priorité pour leur robustesse suite à la défaite contre les Senators en séries - perte d'Eller.
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